Dans ce thriller angoissant se déroulant dans un hôpital, ce nouveau duo de jeunes auteurs nous entraine dans l'ambiance des films d'horreur modernes concentrationnaires. On pensera un peu à the Kingdom, mais aussi à Sucker punch et son asile psychotique, et plus récemment the Secret.
Le thème du coma et son univers parallèle ont pu déjà être abordés dans différents médias, mais la trame reste ici cependant originale, avec un découpage et des dialogues efficaces. Le suspens est ténu, et la fin de ce premier tome met l'eau à la bouche.
Le dessin de style fusion (mix manga comics) aux couleurs sombres passe plutôt bien, faisant de ce Candy mountains une belle surprise.
...Après Delcourt comics, et Emmanuel proust, il va être difficile de faire sans Hostile holster.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les BD qui foutent la trouille
Créée
le 14 déc. 2015
Critique lue 266 fois
D'autres avis sur Candy Mountains, tome 1
Un scénario fantastique Lost-like dans un univers violent, crasseux et gore Hostel-like ou Saw-like, voici ce qu'est Candy Mountains. Côté graphique, c'est propre sans prendre de risque. Aucune...
Par
le 11 juin 2014
2
Une excellent plongée en enfer ! C'est ultra prenant, très très bien réalisé et quand la dernière page arrive on se dit que l'attente du tome 2 va être bien longue !
Par
le 23 janv. 2013
Une honte que cette BD n'aie pas encore été créée avant, ni plus notée ! Plutôt que de retaper ma critique je recommande donc l'article paru dans ZOO n°43 sur ce sombre thriller graphique et...
le 2 déc. 2012
Du même critique
Cela ressemblerait presque à s'y méprendre, par moments, à une autre histoire, et le style noir et blanc, bien que diffèrent, nous renverrait à "Berlin, La cité des pierres" de Jason Lutes. Mais nous...
le 14 déc. 2015
1 j'aime
Une jeune fille de bonne famille est enlevée un matin, puis récupérée en grand fracas par un para militaire, et cachée de ses ravisseurs dans la jungle durant des années...avant d'être retrouvée, pas...
le 14 déc. 2015
1 j'aime
Philippe Gillot, alias Phicil ne fait pas trop de bruit, mais affine son parcours d’auteur complet doucement. S’il a été vu au dessin dans des collectifs comme Paroles de taulards (Delcourt, 2008) on...
le 14 déc. 2015
1 j'aime
