Un tome formidable que ce Corail Noir, qui augure l'arrivée de nouveaux personnages incroyables, sortes de déités tapies dans les profondeur d'Aquablue. Si la fin de l'ère des pirates semble, pendant un temps, laisser un peu de répit au peuple de Aquablue, l'arrivée de la Légion Étrangère amène avec elle une foule de nouveaux problèmes.
La lutte peut, cependant, prendre un nouveau tournant, avec l'existence de ces étranges entités supérieures présentes dans les tréfonds de la planète, seule lueur d'espoir pour Aquablue.
Visuellement impeccable, avec de sublimes travails de couleur et un trait charbonneux et incisif, ce tome 4 offre du caviar pour les yeux.
Créée
le 7 sept. 2021
Critique lue 44 fois
D'autres avis sur Corail noir - Aquablue, tome 4
Un tome formidable que ce Corail Noir, qui augure l'arrivée de nouveaux personnages incroyables, sortes de déités tapies dans les profondeur d'Aquablue. Si la fin de l'ère des pirates semble, pendant...
le 7 sept. 2021
Des secrets sont dévoilés et de nouveaux ennemis arrivent. Entre la Légion étrangère et le Docteur Mengele, c'est toujours aussi subtil. Mais dès la page 7, on a un twist puis assez d'action pour ne...
Par
le 1 avr. 2020
Quatrième tome d'Aquablue. Retour à la case départ pour les autochtones qui subissent la loi des armes. Pendant ce temps, Nao et ses alliés tentent d'entrer en contact avec une autre civilisation de...
le 6 déc. 2017
Du même critique
Après une attente fébrile pour le nouveau film de Scott Derrickson, l'homme derrière le terrifiant Sinister ou encore le vertigineux Dr Strange, voici venu le temps de le découvrir en salles ! Loin...
le 11 juil. 2022
16 j'aime
1
L'instrumentalisation de l'Histoire à des fins politiques, ça ne date pas d'hier. Les historiens polémistes de tout bord, les récupérations de citations de personnalités publiques de source...
le 6 févr. 2022
15 j'aime
10
Parfois, on croit que parce qu'on vit dans une société moderne, on vit de facto dans une société civilisée. On reste droit, sur les routes qui nous sont destinées, sans faire de vague, on dévore les...
le 27 sept. 2021
14 j'aime
9
