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Ils sont des livres dont on se souvient toute sa vie. Mais avec un sentiment de satisfaction modéré, tiède. Celui-ci en fait partie. Et pourtant il était précédé d'une belle réputation - due à de...
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le 7 juil. 2021
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10
Après L'appel à Cthulhu et The junction (non traduit en France), Norm Konyu récidive dans son style caractéristique :
- des thèmes surnaturels,
- des traits simples agrémentés de magnifiques couleurs.
Ses collaborations au sein des studios Dreamworks ou Nickelodeon lui ont sans doute permis d'acquérir et développer à la fois :
- un style de dessins allant à l'essentiel
- tout en conservant une belle qualité graphique (décors, mise en scène...).
Ainsi les lectrices et lecteurs se trouvent transporté(e)s dans une ambiance immersive, entre récit d'épouvante proche du Chien de Baskerville et dessin animé cartoon qui plaira à un large public.
La force est à coup sûr la colorisation des planches. Chaque série de pages possède ses nuances de couleurs chatoyantes pour suggérer ombres ou éclairages tamisées, alignées sur le moment de l'histoire et les émotions du protagoniste.
Variations de rouge orangé, de bleu violacé, de jaune sépia se succèdent ainsi pour notre plus grand bonheur.
A l'arrivée, une belle bande dessinée qui nourrira frayeurs nocturnes et soif de démarche artistique.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleures BD de 2025
Créée
le 20 mars 2025
Critique lue 78 fois
2 j'aime
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le 7 juil. 2021
11 j'aime
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Je n'ai que trois choses à enseigner : la simplicité, la patience, la compassion. Je ne m'attendais pas à retrouver une sagesse aussi terrienne dans le Tao te king. Bien sûr, le symbolisme et...
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le 3 mai 2021
10 j'aime
Lire l'Amant, c'est d'abord faire abstraction du film. Non pas qu'il soit mauvais, Les rythmes, les ambiances, la magie n'y sont juste pas identiques. Lire Marguerite Duras, c'est parcourir des...
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le 27 janv. 2021
10 j'aime
7