le 20 oct. 2021
Il était une fois... Goldorak !
Au cœur des années 70 en France, un dessin animé, précurseur de nombreuses autres œuvres en provenance du pays du soleil levant, émerveillait les enfants d'alors. Goldorak allait faire rêver une...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Goldorak. Rien que le nom sent bon les après-midis d’enfance, les génériques épiques et les rêves de robots géants affrontant le mal intergalactique. Et puis BAM ! 2021 débarque et nous balance une suite officielle. Autant dire qu’on a sorti le pop-corn et le casque de combat pour voir si la légende tient toujours debout.
Spoiler : elle tient. Et pas qu’un peu.
Bajram, Dorison, Cossu et Sentenac ont fait un boulot de cinglés. Visuellement, c’est du grand art, un mélange explosif entre nostalgie et modernité. Les planches envoient du lourd, avec des couleurs qui pètent plus fort qu’un coup de Fulguropoing. L’ambiance est plus sombre, plus adulte, et franchement, ça claque.
Côté scénario, fini le schéma répétitif des bastons hebdomadaires. Ici, on creuse le passé, on questionne les héros, on leur file du doute existentiel et des dilemmes moraux à la pelle. Même Actarus a l’air d’avoir découvert le concept du burn-out cosmique.
Est-ce que tout est parfait ? Non. Mais est-ce que ça envoie du rêve en rétropropulsion avec une dose de frissons et une larme au coin de l’œil ? Oh que oui.
Bref, Goldorak n’a pas dit son dernier mot. Et si tu l’entends hurler "Astéro-hache", un conseil : planque-toi.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleures BD de 2021
Créée
le 29 janv. 2025
Critique lue 28 fois
le 20 oct. 2021
Au cœur des années 70 en France, un dessin animé, précurseur de nombreuses autres œuvres en provenance du pays du soleil levant, émerveillait les enfants d'alors. Goldorak allait faire rêver une...
le 5 nov. 2021
Recontextualisons pour qu'on sois tous au meme niveau. Go Nagai élève de Shotaro Ishinomori lui-même ami d'Osamu Tezuka accouche en 1972 de Mazinger Z partant de l'idée d'une voiture mobile alors...
le 14 déc. 2020
(les noms français ont été gardés pour le confort du rédacteur) Il s'est produit dernièrement une coincidence comme je n'en avais pas connu depuis l'enfance, mais j'ai ensuite compris que certaines...
le 31 janv. 2025
Astérix, c’est un peu comme un banquet chez Abraracourcix : on y revient toujours avec plaisir, même si parfois le sanglier est un peu moins savoureux que d’habitude. Avec L’Iris Blanc, Fabcaro prend...
le 27 févr. 2025
Si tu pensais que les grandes histoires d’amour du XVIIIe siècle étaient toutes romantiques et pleines de sagesse, l’Abbé Prévost est là pour te prouver que non, on peut aussi écrire un best-seller...
le 19 févr. 2025
Si tu pensais que les classiques du XIXe siècle étaient juste de belles histoires d’amour contrariées, Les Misérables de Victor Hugo est là pour te rappeler qu’on peut aussi écrire un pavé où se...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique