Attiré par l'idée de raconter les débuts de Bowie en Angleterre, de ses tentatives aux premiers succès, je suis pourtant déçu par la pauvreté du contenu. On apprend peu, la narration est assez laborieuse, on s'ennuie. Reste un style graphique minimaliste et agréable jouant sur un traits simplifiés au possible (qui fait penser au dessin de presse) et les grands aplats.
Mieux vaut écouter un bon album de Bowie.
Créée
le 12 févr. 2016
Critique lue 213 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Haddon Hall : Quand David inventa Bowie
Bon, c’est léger, ça se lit bien, c’est plaisant mais ça s’arrête là. J’ai appris 2, 3 trucs sur les débuts de Bowie, artiste que j’apprécie énormément sans finalement savoir grand-chose de sa vie...
le 15 nov. 2012
1 j'aime
Cette BD nous conte la vie de Bowie et ses comparses avant qu'ils n'inventent ses personnages mythiques qui l'ont propulsé vers les étoiles et le succès populaire. Des dessins simples et sans ombres,...
le 14 août 2014
Je pense qu'on peut être hermétiques au dessin et aux couleurs très, hum, flashy de ce Haddon Hall. Mais pourtant, ça colle plutôt bien à l'ambiance particulière et à la période d'émulsion créative...
Par
le 12 janv. 2013
Du même critique
Bernanos est un écrivain fascinant pour sa trajectoire, du franquisme à l’anti-franquisme pour finir dans les bras de la religion, voire du mysticisme. J’en avais parlé lorsqu’il était question de...
Par
le 5 janv. 2016
11 j'aime
1
On en reparle depuis qu’il réédite son livre le plus sulfureux, et également son livre le plus connu, Jean Raspail revient pour nous parler de ses craintes, de son attachement à ses racines presque...
Par
le 5 janv. 2016
6 j'aime
Lucien Rebatet et Pierre-Antoine Cousteau se définissaient comme des écrivains fascistes. Au lieu de les stigmatiser, et ainsi de mettre automatiquement le verrou, le livre Dialogue de « vaincus »...
Par
le 5 janv. 2016
6 j'aime
