A oublier
Je ne suis tombé dans le label 619 que récemment, entre PTSD, Loba Loca, Puta Madre ou encore Midnight Tales c'était jusqu'à présent un sans faute. Mais il fallait bien une exception et ce sera donc...
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le 2 oct. 2020
Je ne suis tombé dans le label 619 que récemment, entre PTSD, Loba Loca, Puta Madre ou encore Midnight Tales c'était jusqu'à présent un sans faute. Mais il fallait bien une exception et ce sera donc ce Horseback 1861. Le dessin aura eu raison de moi et ni l'histoire ni les dialogues n'auront su rattraper la chose.
Alors oui, le label 619 c'est souvent un parti pris en terme graphique et je savais à peu près à quoi m'attendre puisque j'avais tout de même feuilleté la BD avant de l'acheter. Mais au delà du simple style graphique le problème est le manque d'harmonie : on a des personnages dont les traits peuvent varier d'une case à l'autre. À cela s'ajoute un découpage que je n'ai pas trouvé très réussi et un manque de lisibilité sur les scènes dessinées me forçant à revenir plusieurs fois sur une même case afin de parvenir à comprendre ce qu'il s'y passait.
Si le scénario n'est pas fou, ce sont surtout les dialogues qui ne vont pas. Pour moi ces dialogues ne sont pas crédibles et tombent assez souvent dans le cliché. Cliché qui n'aurait pas été gênant s'il avait été assumé mais ce n'est pas le cas ici puisque je trouve que l'on navigue entre un ton léger et sérieux.
Bref cette BD n'aura pas été une réussite. Dommage.
(ah, et pourquoi autant de personnages secondaires/figurants avec des dreads blanches ?)
Créée
le 2 oct. 2020
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