C’est une série qui semble connaître un certain succès puisque depuis le temps, six albums sont déjà sortis (!)… et pourtant, il s’agit dès le premier volume d’une histoire à la con sur fond de trafic d’oeuvres d’art qui ne casse pas trois pattes à un canard… lequel s’en bat les couilles en force et retourne barboter dans sa mare.
En fait, c’est tellement ballot et convenu, lent et ramolli qu’on s’y ennuie bien vite… Tout cela est très superficiel et sans intérêt aucun : ç’a dû être tartiné à la va-vite sur un vieux ticket de métro à l’origine.
Les personnages et les dialogues sont affligeants et la partie technique est très faiblarde pour ne pas dire plus. Ou moins. Plutôt fort mal dessiné dans l’ensemble et peu maîtrisé, l’album laisse à cet égard une mauvaise impression même si les couleurs restent à peu près correctes… si on aime le style un peu naze de ce genre-là.
En conclusion, un premier tome très générique et tarte qui ne donne donc pas envie de lire les suites, non, non, vraiment pas.