le 18 oct. 2017
Une petite bafou-bafouilleu...
Étonnant... Je viens de voir ce film qui s'intitule La Tour sombre, mais qui n'a rien à voir avec l'excellentissime série de romans de Stephen King... Et pourtant, j'ai bien cru voir le nom de...
Après Le Voyage des pères, l'excellent triptyque consacré aux tribulations de Jonas, Alphée et Simon sur les routes de Galilée à la recherche de leurs fils respectifs partis à la suite d'un certain Jésus de Nazareth, David Ratte signe avec L'Exode selon Yona un spin-off de sa série humoristico-biblique, surtitré Le Voyage des Pères, 2e époque. Toujours seul aux manettes, l'auteur-dessinateur reprend les mêmes ingrédients - l'humour, l'émotion et les références au monde moderne - pour une nouvelle recette presque aussi réussie que la première.
À travers le personnage de Yona, un lointain ancêtre de Jonas qui occupait la place enviée de conseiller de Pharaon dans l'Égypte antique, c'est le grand récit biblique de l'Exode qui est raconté, d'une façon aussi fidèle qu'irrévérencieuse. Des l'esclavage des Hébreux à la découverte de la Terre promise en passant par les dix plaies, l'ouverture de la mer Rouge, l'adoration du veau d'or, la réception des tables de la loi et les quarante années de traversée du désert, aucun des épisodes marquants de cette légendaire épopée n'est omis. Pour qui a lu Le Voyage des pères, l'effet de surprise généré par cette sympathique tétralogie est forcément moindre, mais David Ratte parvient à nouveau faire rire son lecteur, autant que réfléchir.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleures BD sur l'Antiquité
Créée
le 25 nov. 2017
Critique lue 111 fois
le 18 oct. 2017
Étonnant... Je viens de voir ce film qui s'intitule La Tour sombre, mais qui n'a rien à voir avec l'excellentissime série de romans de Stephen King... Et pourtant, j'ai bien cru voir le nom de...
le 3 mai 2017
La Main au collet est la preuve indiscutable qu'autrefois, la Côte d'Azur n'était pas bétonnée... Qui l'eut cru ? Tourné durant l'été 1954, le vingtième film américain d'Alfred Hitchcock, qui s'ouvre...
le 4 avr. 2017
Un film qu'on pourrait qualifier de jeunesse, bien qu'Alfred Hitchcock eut alors près de 40 ans, tournât son seizième long-métrage parlant et s'apprêtât à quitter son île natale pour les États-Unis...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique