Ce comics n’est sans doute pas le plus marquant de la série des Batman, mais pour moi il a deux gros avantages.
Le premier c’est qu’il est illustré à la façon du dessin animé de la fin des années 90 et représente donc en quelque sorte une madeleine de Proust.
Le deuxième gros point positif est qu’il tourne autour de la délicieuse Harleen Quinzel, de la genèse de son amour de Monsieur J. à la folie qui la gagna et la transforma en Harley Quinn.
Comme dit en introduction de cette chronique, Mad Love n’est pas une pièce maîtresse de l’univers du Batmec et l’histoire présentée est somme toute assez banale et simpliste (sans parler des deux histoires en fin d’album), mais le tandem composé du Joker et de l’ancienne psy fonctionne toujours à merveille et montre encore une fois que même si un amour n’est pas forcément réciproque les deux peuvent retirer du positif d’une situation qui s’annonce compliquée au début.
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