Même si l'histoire est assez bien pensante, je suis à 200% sur la même longueur d'ondes que l'auteur. L'idée est que le capitalisme est arrivé au bout de son concept, et qu'il a pris le dessus sur l'homme. Renato devient alors l'incarnation des pulsions et envies sanglantes d'un peuple réduit à l'esclavage non plus par la force mais par le marketing et l'argent.
Enfin, ce comics allie à la fois la forme et le fond. Visuellement, c'est d'enfer.
Génial.
Créée
le 8 oct. 2018
Critique lue 103 fois
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