Critique qui sera plutôt un questionnement sur l'oeuvre en général.
Une critique d'une société de consommation exacerbée : Une caricature qui est dans l'ensemble nécessaire pour se faire comprendre mais je retrouve dans ce livre la même constante que j'avais trouvé dans black mirror. Je déteste ce coté moralisateur et violent où l'auteur trouve la solution uniquement dans l'annihilation totale de l'humanité. Pourquoi déterminer la vie comme étant une maladie, pourquoi déterminer que les vies futures réaliseraient encore et encore la même boucle, le même schéma, s'accordant sur le principe de suivisme puis de pouvoir puis de destruction... Je ne saurai pas noter ce livre à sa juste valeur car je ne suis pas d'accord avec le propos, malgré tout je considère les dessins comme étant d'une beauté et d'une justesse totale, parfois même apaisants, mais cet apaisement se ressent seulement lorsque la vie n'est pas/peu ou plus développée encore une fois. L'auteur offrant à son lecteur une impression d'inconfort et de fort nihilisme. Cet inconfort pourrait être maitrisé et retourné pour en faire quelque chose de beau en mettant en avant l'incompréhension des évènements qui se passent. A la place de ça on a des morts, des viols, des suicides... On s'accorde bien évidemment sur le fait que l'univers construit ici est une dystopie malgré tout cet extrémisme dans le propos n'offrant aucune évolution prouve que l'auteur lui même se renferme dans un négativisme constant. J'ai donc envie de saquer l'oeuvre pour le propos avec lequel je ne suis pas d'accord où l'auteur fait preuve d'ethnocentrisme en pensant que l'univers se base sur le même fonctionnement de penser que l'humain en règle général faussant ainsi son propre concept, selon moi. malgré tout j'ai envie de le valoriser pour la technique et pour l'effort de réflexion qu'on nous propose et pour les préceptes de physique quantique qui sont abordés nous offrant un autre univers à découvrir.