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Lâcheté et mensonges
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Il a donc fallu 4 volumes de préparation, de mise en forme, de tâtonnements, d'erreurs pour en arriver à ce 5ème tome qui synthétise parfaitement le projet d'Okhubo : un scénario assez classique (l'école, la tradition, l'apprentissage, le complot et la menace extérieure, les tensions entre les élèves,... Euh Harry Potter, quelqu'un ?), un dessin expérimental qui cherche à exprimer d'une manière plus libre et... nouvelle, aussi, mouvements du corps comme ceux de l'âme, des poussées triviales bien venues - le sexe, tendance ado boutonneux, mais aussi toutes les petites vilenies de la vie - qui ramènent le récit vers le concret, et un humour très premier degré, pas très futé, se permettant parfois quelques belles envolées vers la dérision. On sentait le potentiel dans les 4 premiers tomes, mais la difficulté de lecture (des dessins brillants mais peu lisibles) et le manque de ligne directrice dans l'intrigue faisaient qu'ils nous tombaient des mains... Et là, miracle, tout se met en place pour 192 pages de fantaisie, de plaisir, et de stimulation aussi - la difficulté de compréhension reste là, mais on prend goût à décortiquer ces images pour en extraire le sens... Et si moi, le lecteur réticent, j'avais fini par faire la moitié du chemin vers "Soul Eater" ? [Critique écrite en 2009]
Créée
le 10 mars 2016
Critique lue 197 fois
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