
" Ludovic se leva d'un bond. Fanny glissa. Il la rattrapa et la remit, comme une poupée, sur le lit. Sa chemise blanche ouverte laissait voir son cou bruni, ses cheveux brillants dépassant de sa nuque, son torse, sa bouche si longue et si fraiche. La mémoire de Fanny était complètement en déroute ou en déséquilibre, puisqu'elle la fit se retourner contre lui, le visage bientôt couvert de... Lire la critique de Les Quatre coins du cœur