C'est plein de bons sentiments (avec l'idée de pardonner Danny Boyle d'avoir fait Slumdog millionnaire) que j'ai visionné ce film. Ou plutôt que je me suis ennuyée devant lui. J'ai eu l'impression qu'il ne se passait rien du tout pendant tout le film, hormis les placements de produits. Je n'ai pas ressenti de tension ou de pitié particulière pour Aron. Pourtant, je pensais que le voir halluciner à cause du manque d'eau et de nourriture ainsi que par la chaleur allait être intéressant, mais en fait non. Ses monologues n'ont plus.
J'ai vu le début de la scène où il s'ampute mais j'ai accéléré à ce moment-là parce que rien que le début où il se coupe les nerfs (brrrrrr rien qu'en y pensant) m'a déjà donné des hauts de coeur (cependant en lisant les autres critiques, je me suis aperçue que c'était vraiment LA scène du film (et j'ose le noter, pauvre ignorante, sans l'avoir vu)).
Soulignons toutefois un point chouette du film : la très bonne interprétation de James Franco (et c'est pour celle-ci que je n'ai pas mis 1). J'espère que le vrai Aron Ralston a aimé ce film lui.