La mise en scène de Terrence Malick, la photographie d'Emmanuel Lubewski et le magnétisme d'Olga Kurylenko nous envoûtent pendant deux heures. Le film, qui peut paraître repoussant au premier abord de par une narration à priori éclatée (ce qui n'est que partiellement vrai), nous entraîne dans une expérience sensorielle fascinante teintée de philosophie. Une franche réussite, qui peut en laisser plus d'un, ou au contraire attraper certains et leur faire ressentir des émotions purs (ou pas...).

kosta_lepretre
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le 19 avr. 2021

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Kosta Leprêtre

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