Terrence Malick renoue avec la narration pour nous offrir deux heures et quarante-six minutes d'émotions : c'est beau dans tous les sens du terme (cf. le travail de la mise en scène et le travail de la photographie par Emmanuel Lubewski), c'est puissant (notamment par le jeu d'acteur juste criant de vérité) ; le réalisateur dépoussière son cinéma, faisant d'Une Vie cachée un nouveau sommet dans sa filmographie déjà brillante, une révolution dans son art.
Créée
le 21 avr. 2021
Critique lue 87 fois
1 j'aime
Terrence Malick n’a rien perdu de ses manies : les gros plans et le grand angle, les travellings avant, les contre-champs, les lumières naturelles, la contemplation de la création, le souci du détail...
le 3 janv. 2020
76 j'aime
20
Le Festival de Cannes 2019 vient de vivre son premier choc avec Une vie cachée de Terrence Malick, présenté en compétition officielle. Le cinéaste américain est à son meilleur et arrive à trouver le...
Par
le 11 déc. 2019
72 j'aime
1
J’ai aimé Malick. Vraiment… Il y a de cela une décennie encore, j’aimais défendre son œuvre. J’acceptais sa rythmique aux fraises et ses voix off niaises et moralisatrices parce que derrière tout...
le 15 déc. 2019
50 j'aime
32
Terrence Malick renoue avec la narration pour nous offrir deux heures et quarante-six minutes d'émotions : c'est beau dans tous les sens du terme (cf. le travail de la mise en scène et le travail de...
le 21 avr. 2021
1 j'aime
La mise en scène soignée (avec quelques touches d'originalité) de Barry Levinson mélangée au traitement de l'histoire (ici on ne s'intéresse qu'au sort des membres de la famille Madoff) font de The...
le 21 avr. 2021
1 j'aime
Zvyaguintsev enchaîne entre froideur extrême et grande sensibilité et accouche ici d'une œuvre passionnante sur la Russie actuelle. Le réalisateur fait aussi preuve d'un grand sens de l'esthétisme et...
le 26 oct. 2020
1 j'aime
