J'avoue que je me réjouissais de voir un film sur le polyamour qui paraissait plutôt bien troussé, pour une fois. Las, si Anaïs Demoustier fait comme toujours le job (bien que visiblement aucun professionnel de la justice n'ait été consulté d'où le manque de réalisme des scènes de plaidoirie), Sophie Verbeeck peine à convaincre, les situations vaudevillesques et les courses poursuites s’enchaînent lourdement, le slut shaming fuse sans que je parvienne à trouver un instant charmant ce petit trouple malgré lui. Dommage car le film tombe parfois juste comme lors de cette belle scènes d'aveux muette.
[spoiler] Et pourquoi bon sang, les films de triangles amoureux finissent-ils toujours de façon ultra normative, bordel?
Créée
le 18 nov. 2015
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