Le cadre est somptueux et à la fis tellement dangereux que la mort nous hante tout le film, elle est palpable à travers tous les personnages. L'aventure que les personnages mènent file tout droit vers leur propre fin, mené par un Klaus Kinski remarquable et des performances réalistes des autre, on y crois vraiment et on est embarqué avec eux sur ce radeau qui vogue vers nulle-part. Les jeux de pouvoirs sont intéressant et la manipulation d'un homme fou sévit pendant tout le film. On est happé par ce réalisme et par cette tension qui remplit le film d'une aura presque singulière.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2018 (mais pas de 2018)
Créée
le 6 sept. 2019
Critique lue 100 fois
D'autres avis sur Aguirre, la colère de Dieu
Commençons par le commencement : Aguirre offre l’une des plus saisissantes ouvertures de l’histoire du cinéma. Sur cette crête embrumée, on distingue progressivement une colonne humaine qui affirme...
le 4 avr. 2017
129 j'aime
2
Puisque tout est faux. Puisqu’on sait que tout ce à quoi nous assistons, quand nous commençons un film, n’est qu’un gigantesque tour de magie. Nous décidons à chaque fois si nous allons marcher...
Par
le 29 janv. 2015
113 j'aime
58
1560, peu de temps après la conquête du Pérou, le conquistador Gonzalo Pizarro envoie une importante expédition à la recherche de l'Eldorado, la fameuse cité d'or. Dès le début nous apprenons que...
Par
le 31 déc. 2011
85 j'aime
7
Du même critique
Pourquoi c'est aussi simple et aussi bien ? Enfin, ce film est tordu c'est ça qui le rend jouissif mais l'interprétation et les situations semblent tellement réalistes que c'est fluide, inventif et...
Par
le 10 déc. 2019
3 j'aime
On perds ici ce côté seul contre tous qu'avait le chapitre précédent pour avoir un duo de chasseurs de prime des plus réjouissants ; ce qui fait perdre un peu de sa stature à Clint qui ici trouve un...
Par
le 31 mars 2020
2 j'aime
On suit l'ascension politique d'un homme qui démarre de rien et qui accède à la mairie de San Francisco. On ne s’intéresse pas à la vie personnelle d'Harvey mais seulement à son combat politique et...
Par
le 20 mars 2020
2 j'aime
