Nous n'Avalon pas

Tout comme mon titre, ce long-métrage n'était pas terrible.
Cette mixture et un comprimé long et ennuyeux, un recyclable de plans poussé à la répétition au possible, et un enjeux bidon...

Commençons d'abord par ce que nous voyons: le démarrage se fait sur une mission que l'héroïne accomplie sans trop de problème. Des tanks qui semble inutile car leurs canons ne tirent pas et on ne sait pas de quel camp ils sont. Des balles tirés par centaines et un filtre hideux sont en soutiens pour ne pas arranger le tout. En gros de l'action gratuite sans qu'on ne comprenne vraiment ce qui se passe.

La vie virtuelle sont les moments les plus intéressants pourtant je ne les trouvent pas agréables.
La réalité n'arrange pas le tout car la répétition se fera sans cesse. Dès la première scène de transport et de la vie quotidienne de notre protagoniste vous aurez clairement vu tout ce qu'il y avait à voir, c'est un choix certes mais des plus idiots, il y aurait pu au moins avoir quelques differences de plans pour éviter l'ennui de l'œil.

Un manque d'intérêt et d'attachement pour chaques personnages, le secondaires surtout qui est des plus importable, surtout quand il mange comme un porc.

Comme je l'ai dit il n'y a pas vraiment d'enjeu, c'est flou jusqu'à que ça ne soit tout simplement que passer au niveau supérieur. Bien sûr c'est risqué et difficile mais on se fiche de ça.
La fin est ridicule et très insatisfaisante, il y a un manque cruelle de rebondissements, tout comme la musique. D'ailleurs la seule trace de musique reste superficielle et un peu trop poétique pour les situations montrés à l'image, mauvais choix.

Heureusement que ce n'est pas une critique bête et méchante du monde du jeu vidéo comme il en était courant à l'époque, c'est la seule chose bien compris.

Je ne vais pas m'attarder plus sur ce film d'essai de débutant qui a obtenu une bonne note générale juste parce que le réalisateur est apprécié pour un succès passé, c'est un aveuglement.