Critiques de Batalla en el cielo (Bataille dans le ciel)

Sergent_Pepper
7

La catharsis chauve

Tout art propose ses expériences limites : le cinéma de Carlos Reygadas les alimente, à l’image de celui d’Apichatpong Weerasethakul, par une combinaison inédite de lenteur et de choc. La première...

le 6 juil. 2017

19 j'aime

6

EcceLex
8

Le silence et la misère

Batalla en el cielo plonge ses protagonistes dans le silence par l'effet de leur misère et fait réagir leurs corps là où leur parole ne peut plus les aider. La misère tout d'abord, de Marcos qui, par...

le 10 févr. 2011

12 j'aime

Pom_Pom_Galli
2

Critique de par Pom_Pom_Galli

Je ne me souviens plus pourquoi j'avais marqué "batalla en el cielo" sur ma liste de films à voir. Du coup, j'ai commencé le visionnage de ce film sans rien attendre de spécial. Je ne savais pas de...

le 14 janv. 2014

10 j'aime

JimAriz
7

Critique de par JimAriz

Batalla en el cielo commence sans fioritures, un homme sale, moche et très certainement pauvre a les yeux dans le vide pendant qu'une belle femme lui fait une fellation. Image surprenante qui prépare...

le 7 mai 2013

4 j'aime

Fatpooper
3

Le sexe ne fait pas tout

Je suis tombé sur les segments coquins sur pornhub. Du coup j'ai voulu en savoir plus sur ce film, logique. En lisant la trivia imdb du film, je découvre qu'il s'agit d'une prothèse et non de son...

le 27 juin 2021

3 j'aime

4

Nwazayte
2

Voyeurisme et complaisance ...

Difficile de qualifier Bataille dans le ciel, son esthétique relativement putassière, ses scènes de cul bouffies et complaisantes, sa rigidité maladive. Bataille dans le ciel, c'est une tentative...

le 7 févr. 2012

3 j'aime

3

Alligator
5

Critique de par Alligator

Ne connaissant pas le cinéma de Bresson et de Tarkovsky, je passe peut-être à côté d'un sens qui m'a échappé. Peut-être qu'au contraire, j'aurais pu apprécier les longs plans sans y voir l'hommage ou...

le 31 déc. 2012

2 j'aime

aurien
10

Critique de par Aurien Kea

Tragédie mexicaine aux accents tarkovskiens -mais avec la crudité réaliste clarkienne, l’errance filmique antonionienne, le lyrisme subtil karwaïen, le symbolisme discret kimien et l’imprévisibilité...

le 21 oct. 2013

1 j'aime