Tout ses fans l'attendais! Bon ok, tout les gens aimant le cinéma l'attendais. Après les catastrophes qu'on étaient Dark Shadow et Alice Au Pays des merveilles mais le bon retour aux sources qui faisait autant plaisir au coeur qu'aux yeux dans Frankenweenie on se disait que Big Eyes serais le chef d'oeuvre tant attendu de Tim Burton qui passe a côté de tout ses films (de non animation) depuis le très bon Sweenie Todd. Mais queneni, pendant de longues 90 minutes, on regarde Tim Burton courir après sa propre patte, son propre talent. On voit bien que tout les éléments qui faisaient mouche avant son là pourtant, le jazz, la banlieue aliénante, les années 50, un discours féministe et pour les minorités en marge (les femmes des années 50), même une esthétique particulière avec ses grand yeux. Pour autant, il n'y a rien de virtuose, il y a quelques très beau plan, certes (scène l'Héroïne et sa fille se parque dans son bureau faisant très pensé à Shinning où on aurait aimé un clein d'oeil) mais rien de transcendant, la plus part des plans sont fades. On a l'impression que le réalisateur à listé ce qui faisait que ses films marchent et a regroupé tout ses éléments dans ce film, sans y mettre du coeur sans y mettre de lui-même. Mention pas très spécial a Christopher Waltz qui fait un BOUM depuis Inglorious Bastard mais qui joue un marie profiteur sans réel épaisseur, faute au scénario ? Rappelons que Tim Burton n'écrit pas les scénarios de ses films mais qu'il a néanmoins le nez creu pour trouver les scénario ayant du potentiel comme il a toujours su le faire, cette fois-ci il semblerait qu'il se soit tromper, encore une fois!
Ou alors, c'est que j'ai rien comprit au film...