Et ça se passe même pas pendant le réveillon ...

Oui, le mot Christmas ne sera identifié dans le film que par le début des vacances de cette période et de la déco lumineuse associée à cela. Et parce que le film sort en période de fête en vrai aussi, allez on se fait plaize ...

Voilà c'est tout.

Non non sérieux ... Y a aucun rapport avec Noël ni même avec quoi que ce soit d'horrifique.
C'est tout.

ça n'essaye même pas de te faire peur parce que le script et le montage ont été remaniés en cours de route pour adoucir ou parfois cuter tout simplement les scènes qui réellement auraient pu te faire grimacer, on garde que ce qui est chiant et pas effrayant et on a des scènes de charcutage sans la moindre gouttelette de sang, nada ! ( Ils ont trouvés un substitut débile à foutre du dégueulis noir pendant les scènes soit disant gore ). Et puis finalement il faut attendre, mettons 45 minutes pour que le film démarre ses enjeux et se mette en place. 45 minutes d'expo, sans garder vos sens en éveil. Vous pouvez commencer le film en retard, sérieux ça genera pas ...

On est sur du film qui met en avant le féminisme, quoi que le mettre en avant ... Comme bien trop souvent c'est traité avec assez peu de réflexion et avec parfois de la maladresse en prime. Forcément comme le film n'est pas époustouflant et n'apporte pas le choc à son spectateur, tous les persos sont vite oubliables, ejectables et on a pas trop envie de s'attacher à eux si on les fait pas bien évoluer dans le contexte du film.

ça aurait put être un peu décalé comme c'est parfois le cas chez BlumHouse, mais non, même pas drole, même pas judicieux. Le dialogue est niais, l'échange de jeu n'apport pas la moindre vie, les scènes sont brouillons, la mise en scène, caméra, éclairage c'est mal foutu.

Tout est à revoir, un échec quasi total.