The Priest
Parmi les réalisateurs britanniques, je dois dire que Martin McDonagh et son frère John Michael sont ceux en qui je porte beaucoup d'espoir et qui jusqu'à maintenant me donne envie de suivre leurs...
Par
le 3 déc. 2014
8 j'aime
1
En voilà un film bien atypique et bien trempé de caractère : ça fait plaisir à voir ! C’est suffisamment rare pour le signaler, « Calvary » est ce genre de long-métrage qui parvient à trouver un très bon équilibre entre l’atmosphère épurée d’un film contemplatif et la structure dynamique d’un récit artificialisé comme il faut. La réalisation est très propre, efficace et le casting remarquable de richesse et d’éclectisme (retrouver Isach de Bankolé et Aidan « Mayor Carcetti » Gillen autour de Brendan Gleeson et Kelly Reilly, c’est quand même la classe). Tout cela n’est pas tape à l’œil mais bougrement efficace. J’aurais même pu m’enflammer davantage pour cette étrange intrigue si… si seulement le propos allait dans une direction susceptible de m’intéresser… Ce n’est pas forcément le truc de la foi religieuse qui me dérange, mais juste le nihilisme un peu facile qui découle de l’intrigue. C’est dommage, parce qu’au fond il y a une jolie forme, de jolis personnages et des péripéties parfois savoureuses… mais pour finalement pas grand-chose. C’est dommage donc, même si bon, dans l’ensemble ça ne m’a pas empêché au final de passer un très bon moment. A bon entendeur…
Créée
le 28 sept. 2017
Critique lue 193 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Calvary
Parmi les réalisateurs britanniques, je dois dire que Martin McDonagh et son frère John Michael sont ceux en qui je porte beaucoup d'espoir et qui jusqu'à maintenant me donne envie de suivre leurs...
Par
le 3 déc. 2014
8 j'aime
1
En début d'année, le beau et touchant "Philomena" abordait le problème des jeunes femmes "perdues", confiées par leurs familles à des couvents, du fait de leur grossesse, jetant l'opprobre sur leurs...
Par
le 29 nov. 2014
8 j'aime
Un confessionnal. Un homme d'église à la barbe garnie et grisonnante écoute attentivement son pénitent le menaçant de mort. Le ton est donné. Au milieu d'un décor paisible, verdoyant et majestueux,...
Par
le 22 janv. 2015
7 j'aime
8
Du même critique
Il y a quelques semaines de cela je revoyais « Inception » et j’écrivais ceci : « A bien tout prendre, pour moi, il n’y a qu’un seul vrai problème à cet « Inception » (mais de taille) : c’est la...
le 27 août 2020
236 j'aime
80
Et en voilà un de plus. Un auteur supplémentaire qui se risque à explorer l’espace… L’air de rien, en se lançant sur cette voie, James Gray se glisse dans le sillage de grands noms du cinéma tels que...
le 20 sept. 2019
206 j'aime
13
Avatar premier du nom c'était il y a treize ans et c'était... passable. On nous l'avait vendu comme l'événement cinématographique, la révolution technique, la renaissance du cinéma en 3D relief, mais...
le 14 déc. 2022
158 j'aime
122