Pour public averti et encore...

Euh, il faudrait m'expliquer comment on peut produire de tel scénario de délires sexuels psychotiques ! Avec un beau plateau d'acteurs, Huppert-Berling-Lafitte de l'académie française, on se demande comment de tels acteurs peuvent lire un scripte comme ça et se dire bingo, c'est top cette histoire ! Pour résumé car quand même ça vaut le coup. Huppert se fait violer, elle même petite, son père avait décimée toute la rue et est en prison, bien sûr, elle ne prévient personne et veut identifier le pervers sexuel d'elle même. Elle se tape sa collègue et amie et un peu aussi l'amie de son ami et a des vues sur son voisin. Au final, elle se tape le voisin et découvre que ce dernier, enfin, je vous laisse découvrir. Bref, on se demande vraiment la finalité de tout ça, l’intérêt ; peut être une analyse psy de toutes ces personnes traumatisées ; peut être, ah oui !, conclure qu'on est tous un peu comme eux, à avoir des pensées bizarres et des mœurs sexuelles débridées mais qu'on ose se le dire, merci le film en somme ; ou alors simplement une tranche de vie normale d'une femme classique du XXIème siècle. Moi, perso, comprend pas, pire, je trouve que ce genre de film devrait être davantage écarté, car d'une grande violence psychologique/sexuelle. Public averti et encore dans quel but ?

barizana
2
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le 24 oct. 2016

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Benoit Besson

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