
C’est encore une histoire d’amour, une histoire d’amour que la guerre vient mettre à l’épreuve, engloutir et faucher en vol, ou plutôt dans la boue. Veronika et Boris s’aiment à la folie, ils vont se marier, c’est sûr, il l’appelle mon écureuil, elle ne pense qu’à lui, tout le temps. C’est d’un romantisme suranné et exalté comme on n’en fait plus, un romantisme à coups de regards éperdument... Lire la critique de Quand passent les cigognes