Pour moi, Dreamworks, en termes d’animation, ils sont capables du pire comme du meilleur. Là, avec « En route », c’est clairement le pire. J’ai rarement vu un film aussi horripilant et surtout doté d’un tel niveau de mauvais goût. Ce n’est pas compliqué : je ne vois même pas la cohérence du projet. J’ai l’impression que les gars ont mené une multitude d’enquêtes de marché et qu’ils ont essayé de faire un truc avec les résultats obtenus, sans même se soucier de la cohérence de l’ensemble. Ainsi se retrouve-t-on avec un personnage principal qui doit être une fille – forcément noire – et forcément issue d’une famille monoparentale. Elle doit se balader dans un monde où : il y a forcément des choses fluos – des personnages qui gigotent tout le temps – des bruits dans tous les coins – des choses qui volent, etc… C’est bien simple : ça ne ressemble à rien. C’est hideux. Ça refile mal au crâne. Bref, sur ce coup-là, Dreamworks, je ne vous félicite pas…