De l’ombre à la lumière
De la même manière que The Place Beyond the Pines brossait un portrait de la corruption sur trois générations – la génération du Père, celle du Fils et celle de l’Esprit –, Face à la Nuit pense le...
le 21 janv. 2020
7 j'aime
Démesurément ambitieux, Face à la nuit souffre de la trop grande confiance que son réalisateur a porté à un scénario démesurément ambitieux (trois nuits fondamentales de la vie d’un homme et qui doivent définir qui il est) et dont toute la potentielle poésie se dilue dans des enjeux internes à chacun des trois courts métrages qui définissent son film. Pourtant, Wi-ding Ho intrigue au départ avec une étrange dystopie, qui, dilatée, aurait sans doute pu constituer un thriller futuriste craspec et négativiste.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2019/07/27/face-a-la-nuit/
Créée
le 27 juil. 2019
Critique lue 295 fois
D'autres avis sur Face à la nuit
De la même manière que The Place Beyond the Pines brossait un portrait de la corruption sur trois générations – la génération du Père, celle du Fils et celle de l’Esprit –, Face à la Nuit pense le...
le 21 janv. 2020
7 j'aime
Primé du Grand Prix du Festival international du film policier de Beaune, « Face à la nuit » est un film expérimental, un vrai exercice de style parfois désarçonnant, souvent trop contemplatif mais...
Par
le 17 juil. 2019
6 j'aime
Face à la nuit est composé de 3 segments, à rebours d"une vie, les scènes du début s'éclairant progressivement, à mesure que le film remonte le temps. On peut éventuellement penser à Wong Kar-wai...
le 13 juil. 2019
5 j'aime
Du même critique
La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...
le 24 janv. 2024
4 j'aime
1
Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...
le 3 nov. 2023
4 j'aime
Didier Super se repaît de la lie de l’humanité, c’est son fonds de commerce. Qu’il soit parvenu à élever ce concentré de bêtise crasse au rang d’art (cf. ses albums Vaut mieux en rire que s’en foutre...
le 17 juin 2020
4 j'aime
2