Ce n'est pas mon Cronenberg favori, mais je suis toujours impressionné par la manière dont il amène et convoque la SF dans ces films, que ce soit par le prisme de la télékinésie avec Scanners, de la psychologie et de la cure sectaire et maternelle avec The Brood ou de la TV et la déviance sexuelle dans Videodrome. Dans celui ci on trouve un rapport plus familial, pervers et psychanalytique baignant dans une légère flaque d'"Horror Body" à certains moments. Cronenberg marque bien la fin de la partie fantastique de sa carrière avec Faux Semblants.