A l’heure où la qualité d’un film est mesurée au temps d’écran de ses monstres, Gozilla 2 devrait satisfaire la majorité des spectateurs. Pour ma part, je ne suis pas étonnée (on ne fait pas un film à 200 millions pour plaire à la presse) mais reste néanmoins critique de la tournure prise, après le pari risqué du Godzilla de Gareth Edwards. A force de surenchères de monstres et d’incohérences de personnages, à vouloir copier la formule Marvel à tout prix, Michael Dougherty se fend d’un film certes très spectaculaire mais qui manque de personnalité et de consistance.
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