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Malaise en Suède
[Article contenant des spoils]Ruben Östlund, cinéaste du malaise. Qu'on se rappelle par exemple, dans The Square, la scène où la performance dégénère, ou celle où le héros ne veut pas donner son...
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le 31 mai 2022
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Film exigeant mais très pertinent
De ce même réalisateur je n'avais vu que Play et encore en partie seulement. C'est le genre de films que j'arrive très bien à voir au cinéma mais j'ai pas la patience de les découvrir sur petit écran.
Là j'ai vu Happy Sweden au cinéma. Le dispositif est assez particulier : successions de plans fixes, narration décousue etc. J'ai pas trouvé toutes les saynètes passionnantes mais les situations dépeintes posent des questions avec pertinence et intelligence. Les questions de morale notamment et de civisme. Dans un pays comme la suède, ces questions reviennent régulièrement. Le film m'a amené à poursuivre ce type de réflexions.
Pas grand chose à dire si ce n'est que comme pour The Guitar Mongoloid, son premier film, on se pose la question de la frontière entre fiction et documentaire. On a jamais l'impression de voir un comédien jouer. De ce coté là c'est très réussi.
Là j'ai vu Happy Sweden au cinéma. Le dispositif est assez particulier : successions de plans fixes, narration décousue etc. J'ai pas trouvé toutes les saynètes passionnantes mais les situations dépeintes posent des questions avec pertinence et intelligence. Les questions de morale notamment et de civisme. Dans un pays comme la suède, ces questions reviennent régulièrement. Le film m'a amené à poursuivre ce type de réflexions.
Pas grand chose à dire si ce n'est que comme pour The Guitar Mongoloid, son premier film, on se pose la question de la frontière entre fiction et documentaire. On a jamais l'impression de voir un comédien jouer. De ce coté là c'est très réussi.
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le 22 janv. 2015
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