Un écolier travaille la nuit dans une imprimerie pour payer les dettes (5 500 $) de jeu de son père veuf (ils habitent dans une scierie, la mère étant morte d’asthme), ouvrier de chantier de construction ; il s’endort pendant la classe d’où l’enquête menée par la jeune institutrice auprès du père qui ignore tout du travail de son fils qui n’a pas oser lui en parler (d’où le titre). La musique est vieillotte, redondante et sirupeuse, ce qui accentue le côté soporifique du film. Cela s’achève par un « happy end » (imposé par les autorités de Taiwan)
avec le lycée flambant neuf où le gamin poursuivra sa scolarité.