On pensait que personne ne le ferais, et pourtant, ils ont osés: ils ont repoussés les limites de l’étron cinématographique. Pour y arriver, il a fallu se donner beaucoup de mal. Il a fallu traquer les moindres petites traces de cohérence, pour les annihiler, sous peine de voir le point de départ scénaristique, tellement consternant, prendre un minimum d'importance. Il aura aussi fallu embaucher un responsable des effets spéciaux, dont la principale source d'inspiration semble être "Power Rangers". Et il aura fallu réaliser un casting désastreux, ou ceux qui collent le plus à leurs personnages, sont ceux qui jouent le plus mal. Alors à se niveau là de performance, ce n'est plus simplement du cinéma: c'est un miracle.
I, Frankenstein démontre qu'en assemblant des bouts d'humains, on peut animer une créature, tandis qu'en prenant plusieurs petits bouts de caca, on obtiendra toujours un gros tas de merde. La science dit merci!