Harrison Ford qui tient la forme pour son âge, et pour Cate Blanchett, à la fois beauté froide, puis des yeux bref... Pour ce qui est du film, dans ce 4ème volet, le premier quart d'heure est absolument Spielbergien, d'une pureté rare sur tout les points. L'humour est présent, j'ai passé un bon moment de franche évasion. Le passage de la forêt est vraiment digne d'une bande dessiné, bien que l'on puisse se dire que l'ambiance est dans un genre d'Ewoks et j'ai eu la sensation que Spielby sait dit tiens, Lucas je te laisse la caméra un petit moment c'est ta scène. La fin est très décaler et très basique. Ce qu'il y à de bon, ressentir qu'Indy au moment de ce passage reste clairement en retrait par rapport a ce qui l'entoure. Il dit bien a Spalko (Cate Blanchett), je cite, à votre place je ne ferais pas ça. Certes son comportement est employé dans les trois volets précédents, mais cette fois, on ressent bien que ce qu'il a en face le dépasse. Il cherche pas à vouloir comprendre pourquoi ceci ou cela ? que font-ils ici ? (de plus en sachant, que cela se passe en 1957, que peut-on dire face a une situation qui vous est nouvelle et inconnu). Comme il dit a son fils " si ton grand-père verrait ça ! il en rigolerait". Tu m'étonnes ! Bon, pas le plus grand Indiana de la saga, c'est même un demi-ratage, mais il reste un léger divertissement. Sinon, le film ne manque pas de clins d'oeils pour les pro Spielberg connaissant sont univers depuis le début de sa carrière.