That’s all folk.
« Pendez-moi, j’ai défié le monde… » chante Llewyn dans la chanson qui ouvre le film. Tout est là, comme souvent chez les frères Coen, pour irrémédiablement condamner le protagoniste. Parasite,...
le 15 avr. 2014
141 j'aime
6
Créée
le 22 janv. 2014
Critique lue 244 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Inside Llewyn Davis
« Pendez-moi, j’ai défié le monde… » chante Llewyn dans la chanson qui ouvre le film. Tout est là, comme souvent chez les frères Coen, pour irrémédiablement condamner le protagoniste. Parasite,...
le 15 avr. 2014
141 j'aime
6
Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes session 2013, Inside Llewyn Davis est en effet un très bon cru des frères Coen qui se déguste avec délectation : un film ironique, pluvieux et hivernal, ce...
Par
le 26 mai 2013
79 j'aime
18
Il existe au cinéma une véritable esthétique de la moulasse, avec de très nombreuses variations autour de la moule au milieu du salon, quelque chose qui place le mollusque au niveau des losers...
Par
le 15 nov. 2013
70 j'aime
22
Du même critique
L'ami James Wan confirme avec sa seconde incursion dans le domaine de la maison hantée qu'il est l'un des meilleur réalisateur de série B depuis la pré-retraite méritée de Carpenter. La mise en...
Par
le 26 juil. 2013
16 j'aime
7
Ce qu'il y a de rassurant avec Luc Besson, c'est qu'il est constant dans la médiocrité et qu'il tend parfois à la nullité sublime (voir l'abominable Jeanne d'Arc). Cette fois l'ami Luc (peut-être...
Par
le 23 sept. 2013
15 j'aime
18
Infinite commence comme un blockbusters très con, mais plutôt bien mise en scène (Fuqua est un yes man mais un yes man avec du talent (voir Training Day et le premier Equalizer). On ne comprend pas...
Par
le 16 juin 2021
10 j'aime
2