"But the most terrible agony may not be in the wounds themselves

...but in knowing for certain that within an hour, then within ten minutes, then within half a minute, now at this very instant, your soul will leave your body, and you will no longer be a person, and that is certain; the worst thing is that it is certain."


Inutile de réinventer la roue, presque tout a déjà été dit sur ce film. Mieux que je ne pourrais le faire. J'invite seulement ceux qui aiment le (bon) cinéma à voir cette pépite, ne serait-ce que pour sa BO.


J'ajouterai seulement que personne il me semble n'a vu la proximité du réalisateur avec Gregg Arak ou "Brick" de Rian Johnson, tant il se penche sur le mal-être de la génération qui se construit au milieu des ruines laissées par les adultes (qui brillent par leur absence ou leur transparence), au sens propre (Detroit) qu'au sens moral (la mère qui picole, le père absent...). Tout cela crée une tension qui comme le souligne certains critiquophiles rend inutile les effets de manche. En tout cas je recommande!

Créée

le 30 mars 2017

Critique lue 205 fois

Cinéphage

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