Un Monopoly pipé dans une société d'héritiers

"Les Parasites" est un groupe formé par des jeunes passionnés de cinéma et axé sur la réalisation de courts-métrages. Selon Guillaume Desjardins, l’un des membres, leur travail s’inspire d’une phrase de Théodore Monod : « L’utopie n’est pas l’irréalisable, mais l’irréalisé. ».
L'une des premières réalisations leur ayant valu une distinction est une œuvre intitulée "Symptômes d’Amour", récompensée en 2014 lors du concours 48 Hour Film Project de Montpellier.


Parmi les autres courts-métrages de ce collectif qui valent le détour, "Jeu de Société" occupe une place de choix. 
Nous suivons le parcours de Nicolas, un jeune homme introduit par sa petite amie Victoire dans l'intimité d'une famille assez particulière puisqu'elle est obsédée par un « jeu ». Ce dernier n'a pas de nom car dans cet univers dissonant, il ne semble exister aucune autre proposition ludique. Toutefois, le spectateur reconnaîtra sans mal un Monopoly dont les dés auraient été pipés.
Nicolas est convié à une partie en cours depuis déjà plusieurs générations. Les autres participants sont Victoire, son Frère Adam, l'Oncle, la Mère, qui fixe les règles, et le Père, qui fait la banque.
Tout comme dans le fameux jeu de société étasunien, le but est de s'accaparer un maximum de terrains et de construire le plus de maisons en vue de torpiller ses adversaires.
Même en cas de concurrence libre et non faussée, la finalité de ce processus est la constitution d'un monopole privé. L'économie se réduit ici à des activités rentières et de la pure spéculation immobilière.
Cependant, à la différence de la philosophie libérale illustrée par le Monopoly, qui voudrait que tout le monde démarre en théorie sur un même pied d'égalité, l'équitabilité initiale n'est même pas respectée dans la mesure où Nicolas prend en cours de route une partie déjà entamée, avec en guise de liquidité un ridicule billet de 500, ce qui ne manque d'ailleurs pas de l'étonner. Mais comme le rappelle le Père, « [on] a tous commencé avec 500. ».
Grâce à son habileté et son « mérite », à moins que tout ceci ne soit le fruit des aléas du hasard, le jeune participant se laisse happé par le jeu.
Plusieurs grains de sable viennent cependant s'incruster dans les rouages d'une mécanique jusqu'ici bien huilée, à commencer par la Grand-Mère, exclue de la partie et reléguée du côté des perdants. La gêne qu'elle représente pour la famille, à l'instar de ces personnes sans domicile fixe qu'on n'ose même pas regarder quand on les croise dans la rue, en fait une cible de choix pour le Père. La violence symbolique n'a bien sûr d'autre but que masquer la cruauté du système en place en ramenant la faute aux exclus.
Vient ensuite la tricherie révélée par le fait que le Père donne de l'argent à la Mère pour qu'elle change les règles, ce qui donne lieu à des moments absurdes.
Excédé par cette situation et le poids de ces injustices, bien qu'elles aient été pleinement intégrées par l'ensemble de cette curieuse « communauté », Nicolas finit par se révolter, ce qui ne se fera pas sans heurt.
Ce court-métrage n'est rien de moins qu'une mise à nu des arcanes du pouvoir et une allégorie de la lutte des classes.
La Mère incarne les professionnels de la politique choisis pour exercer un mandat dans le cadre d'un système représentatif assimilable à une aristocratie élective et dans le fond très éloigné de l'idéal démocratique. Elle excelle dans l'art de manier la langue de bois et illustre à bien des égards la corruption générée par la collusion entre les intérêts publics et privés, sachant qu'elle édicte et modifie les règles au gré des dessous de table du Père. Les autres sont sommés d'accepter sans réserve les décisions du législateur et n'ont aucune marge de manœuvre, mis à part le choix de la personne à laquelle ils consentent à donner leur voix, à l'occasion d'élections sporadiques.
Comme pour rendre plus acceptable la situation subie par ceux qui sont en situation de précarité, la Mère se contente de minimiser les mauvaises passes censées précéder les lendemains qui chantent, comme si les crises cycliques du capitalisme n'étaient que des accidents de parcours. Lorsque les conditions posées par le système deviennent intenables et donnent naissance à trop d'éléments perturbateurs, c'est elle qui propose que tout le monde se cotise pour aider les joueurs en difficulté et les ré-intégrer au jeu, soit une manière comme une autre de les faire progressivement rentrer dans le rang. Cette approche n'est pas sans rappeler le(a) compromis(sion) d'une social-démocratie focalisée sur l'objectif d'atténuer les pires effets de la doctrine libérale sans pour autant la remettre en cause.
Le Père symbolise quant à lui le monde de la finance. La position qu'il occupe ne découle en aucun cas d'une décision démocratique, mais c'est pourtant lui qui est véritablement aux commandes de cette société, pilotant en sous-main les actions du pouvoir politique. Tout semble indiquer que le banquier est à l'origine du jeu et de ses règles absurdes, puisque le système a été calibré de sorte qu'il bénéficie de la configuration la plus avantageuse possible. Et contrairement à ce qu'a pu affirmer « Flanby », il a ici un nom et un visage.
Afin de préserver ses intérêts, le Père n'hésite pas à avoir recours à la violence symbolique, ainsi qu'à la puissance coercitive de l'État légitimée par l'institution d'un régime pseudo-démocratique, conformément aux thèses de Max Weber. Rien ne saurait y attenter et tous les moyens sont bons pour éradiquer les potentielles menaces. Ce constat n'est pas sans nous rappeler la trajectoire suivie par un macronisme mâtiné de libéralisme économique et très porté sur l'autoritarisme, quitte à nier purement et simplement l'existence des violences policières, au point qu'on ne puisse même plus les filmer.
De son côté, Adam incarne à merveille la ligne ultra-conservatrice de la haute bourgeoisie à qui tout a réussi. Par certains aspects, il semble plus extrême encore que son Père, dans la mesure où le moindre élément susceptible de saper ses privilèges, même dans le cadre d'une concurrence acceptée et prévue par le jeu, devient synonyme de danger. Il s'oppose à toute concession sociale et n'accepte pas, à titre d'exemple, que la dette d'une personne en situation de faillite soit réduite de moitié.
À ses yeux, tous ceux qui critiquent la façon dont la société est câblée ne sont rien d'autres que des mauvais perdants qui méritent ce qui leur arrive. Atteint du biais du survivant dans une « société d'héritiers » (dixit Thomas Piketty), il ne tient absolument pas compte du poids des inégalités structurelles présentes dès la naissance, ce qui n'est pas rappeler les magnifiques sorties de notre « Jupiter » national sur les « fainéants » et les « jaloux » face aux « premiers de cordée ».
Victoire représente la classe moyenne biberonnée à une fable méritocratique du reste fort éloignée de la réalité du monde. Malgré d'éventuels coups durs, son Père ne cesse de la rassurer sur le fait qu'elle va remonter. Son honnêteté se voit couplée à une naïveté pour le moins désarçonnante. Elle compte de surcroît parmi ceux qui ont déjà trop à perdre pour cautionner l'option de tout remettre à plat. Malgré un chemin semé d'embûches, elle tend en effet à s'embourgeoiser puisqu'elle commence à être bien placée et avoir de plus en plus de maisons.
Néanmoins, sous l'impulsion de Nicolas, Victoire prend peu à peu conscience des injustices qui traversent cette société et finit par braver l'autorité du Père. Cette réflexion relativement tardive renvoie en partie à la mise en évidence des absurdités du système bancaire suite à la crise de 2008, attestant d'une complète déconnexion entre les fluctuations des cours de la Bourse et le développement de l'économie réelle.
L'Oncle s'inscrit quant à lui dans une catégorie sociale à la fois défavorisée et profondément aliénée, puisque phagocytée de l'intérieur par l'éclatement des solidarités et le triomphe de l'individualisme. Dépourvu de vision globale, l'étendue de ses horizons se limite à son bien propre, sans tenir compte des liens d'interdépendance qui caractérisent une société. Bien qu'il soit victime d'oppression, il la cautionne parce qu'il est incapable de se départir de son égoïsme et voir plus loin que le bout de son nez. Son positionnement moral n'est pas sans rappeler les pauvres prêts à se tirer dans les pattes pour conserver leurs acquis dans "Parasite", dernier long-métrage de Bong Joon-ho. Le drame réside dans le fait qu'incapable d'identifier précisément les causes de son malheur, l'Oncle a préféré se réfugier dans la consommation de drogues légales. Ces dernières concourent certes à rendre la réalité plus supportable, mais n'oeuvrent nullement à son émancipation. Sa seule « porte de sortie » est la voie électorale.
S'il paraît dans un premier temps réagir suite aux révélations de tricherie par Nicolas, il cède très facilement aux sirènes des arguments fallacieux brandis par Adam. Comment ne pas penser à cette part de l'électorat français qui rejette les frustrations générées par l'économie libérale sur ces « étrangers qui volent notre travail »... L'Oncle est l'une des plus sûres démonstrations de la quasi-impossibilité d'aboutir à la convergence des luttes.
La Grand-Mère est celle qui a le plus souffert du jeu. Elle est cette figure de l'extrême pauvreté qu'on ne daigne même pas prendre en compte. La domination qui s'exerce sur elle est loin d'exclusivement se limiter à la privation matérielle. Dans des pays peu développés, le dénuement n'empêche pas un certain niveau d'intégration dans la société. Il en va tout autrement pour les économies avancées dans le mesure où la pauvreté devient synonyme d'exclusion.
À l'instar des personnes sans domicile fixe, la Grand-Mère est une citoyenne de seconde zone réduite à la mendicité. Privée d'adresse, elle n'existe pas en tant que personnalité juridique. Son cas est totalement invisibilisé. Le Père dissuade qu'on puisse venir en aide à cette pestiférée. Dans un premier temps, Nicolas n'échappe pas non plus aux préjugés que peuvent avoir les gens peu renseignés sur ces marginaux, sans savoir ce qui a pu les conduire à une pareille situation.
Mais le « modèle » social vendu ici n'a rien d'un système gagnant-gagnant et après s'être un temps prêté au jeu, le jeune homme va vite s'en rendre compte. Il est sommé de se conformer à un certain standard de réussite pour que la famille consente à ce qu'il épouse Victoire. Tout l'encourage à s'engager sur cette voie, à l'instar du Père qui vante ses qualités de fin stratège et son sens du plaisir. Cependant, il réalise très vite qu'il y a anguille sous roche, à l'instar d'une jeunesse conscientisée politiquement une fois qu'elle s'est aperçue des travers qui imprégnaient la société dans laquelle elle a grandi. C'est principalement par l'entremise de ses propos et ses actes qu'un déclic survient aussi chez la classe moyenne.
Nicolas n'a cure des promotions offertes par le jeu et cherche simplement à s'en émanciper. Relégué à la marge en raison de ses divergences politiques et de son refus d'adhérer aux règles de la « démocratie » représentative, il ne se laisse pas abattre et propose de nouveaux paradigmes face à une Grand-Mère désoeuvrée, ce que le Père de Victoire perçoit immédiatement comme une menace. Le garçon devient ainsi le dépositaire des idéaux révolutionnaires et du désir de chercher des alternatives, ce qui n'est pas sans une certaine naïveté dans la mesure où il reste persuadé qu'il n'est guère besoin de stimuler la compétition dans un jeu où tout le monde serait dans la même équipe. Ce n'est pourtant qu'à la toute fin qu'il prend la pleine mesure de l'étendue et la portée des utopies et systèmes politiques passés, jetés aux oubliettes de l'Histoire par le grand ordonnateur du jeu.
Le tour de force du court-métrage réside autant dans sa capacité à mobiliser ses concepts, à grand renfort de symboles, qu'à son aptitude à filer la métaphore via des personnalités tangibles et palpables.
Nul besoin d'un long déroulé explicatif pour nous initier aux règles du jeu. Le spectateur est plongé in media res dans l'action, aussitôt immergé dans un univers qui lui paraît à la fois décalé et curieusement familier. Le décorum pompeux et l'environnement relativement vieillot de cette demeure nous ramènent à l'ancienneté, comme pour mieux marquer l'intemporalité de la métaphore et le poids des traditions séculaires, sachant que le jeu se pratique depuis maintes générations.
Celui qui découvre pour la première fois cette œuvre peut très bien l'apprécier sans avoir nécessairement en tête les paradigmes précédemment évoqués, à la manière d'un conte empreint de cynisme et d'humour noir. À l'inverse, un spectateur averti convoquera une myriade de références pour mieux appréhender la multiplicité des niveaux de lecture.
L'utilisation trop intempestive de symboles au sein d'une œuvre de fiction peut alourdir le propos. L'effet est ici atténué pour des raisons qui tiennent autant à l'intrigue parfaitement millimétrée de ce huis clos qu'à la fluidité des dialogues. Toutes les répliques se répondent et sont à leur place, mais chacune a un sens plus profond qu'au premier abord. En voici quelques exemples :

« Il faut absolument que cette partie se passe bien. ».


« Bienvenue dans le jeu, Nicolas. ».


« C'est votre place. Et vous savez ce que ça veut dire ? C'est pour la vie. ».


« On a tous commencé avec 500, Nicolas. ».


« Allez Mémé. Ne te ridiculise pas devant le fiancé de ta petite fille. ».


« J'y peux rien si tu fais des bulles sans arrêt. ».


« T'inquiète pas, ma fille. Tu vas remonter. ».


« Ça, c'est un joueur ! L'investissement, ça paye toujours... ».


« Allez, c'est une mauvaise passe ! Ça va mieux ensuite. ».


« Évidemment, on est là pour s'amuser ! C'est un jeu ! ».


« Tu es un fin stratège et tu as le sens du plaisir. ».


« Y a déjà pas de familles qui tiennent quand il y a de l'argent. Alors les amis... ».


« Tu veux bien me prêter un peu d'argent que je puisse rentrer dans le jeu, s'il te plaît, ma chérie ? ».


« Oui mais en même temps, comment vous avez fait pour perdre ? ».


« Allez oust ! Du balais ! T'emmerdes tout le monde. ».


« Parce que c'est la démocratie, mon cher Nicolas ! Nous avons voté pour que ce soit Maman qui décide des règles. Il lui reste encore 1214 tours avant que nous puissions revoter. ».


« Tu veux peut-être qu'on te donne de l'argent, aussi ? ».


« Ça compliquerait tout au niveau des transferts. Parce que du coup, les valeurs ne tiennent plus par rapport au retour sur investissement. Bon faites-moi confiance. ».


« Mauvais joueur. ».


« On peut pas quitter le jeu comme ça. En plus, euh... je commence à être bien placée et j'ai de plus en plus de maisons. ».


« Ah, on ne te l'a pas dit... Mais tu ne peux pas quitter la partie tant que tu n'as pas réglé la totalité de tes dettes. Donc la banque va te prêter de l'argent pour que tu puisses continuer à jouer et gagner ce qu'il te manque... Et après tu me rembourseras. Avec les intérêts bien sûr, puisque je t'aide. ».


« Comme tu es nouveau, on va trouver un arrangement... On va réduire ta dette de moitié. ».
« Non, non... Je ne vois pas pourquoi lui, il aurait le droit de faire disparaître des sous ! Il faut qu'il paye ! ».


« C'est mal jouer dans ces cas-là ! T'as des dettes maintenant, tu dois payer. ».


« Nicolas, Nicolas, Nicolas... Je crois qu'on ne vous a pas très bien expliqué. On n'a pas été clair depuis le début. Appartenir à cette famille... Ça veut dire faire partie du jeu. ».


« Ouvre les yeux, Victoire. Tout est truqué, c'est ton père qui paie pour changer les règles. ».


« Nicolas, Grand-Mère : j'ai une bonne nouvelle ! Je viens de créer une nouvelle règle. À chaque tour, les joueurs se cotisent pour aider les joueurs en difficulté. ».


« J'empêche le désordre. ».


« - On a déjà joué à d'autres jeux. À tous les autres jeux ! Ça s'est mal passé, très mal passé.
- Mais ça ne peut pas mal se passer dans mon jeu. On est tous dans la même équipe !
- Ton jeu, ton jeu ? Ha ha, mais quel âge tu as toi pour prétendre inventer des nouveaux jeux ! Tu sais depuis quand il existe, celui-là ? ».


« - Évidemment que j'imprime des billets, c'est pour la banque ! Il faut bien que je crée de l'argent pour les emprunts si on veut continuer la partie.
- Oui... Alors pourquoi tu récupères des intérêts si c'est même pas ton argent que tu prêtes ?
- Mais... Parce que j'ai pris des risques pour le jeu, Victoire.
- Tu triches.
- C'est comme ça que le jeu fonctionne depuis toujours. ».


« Vous ne détruirez pas mon jeu. ».


Ajoutons à cela d'excellents interprètes, à commencer par Roxane Bret, déjà sublime dans "Crise d'Empathie", autre court-métrage des "Parasites" que je me dois de vous recommander. Saluons également le charismatique Antoine Basler, qui ne manque décidément jamais une occasion de briller dans des rôles de connard, sachant qu'il a par exemple joué dans "99 francs". 
C'est pourquoi je ne saurais que trop vous conseiller d'accorder vingt minutes de votre temps à cette dénonciation poétique des absurdités de notre système politique dans une économie capitaliste favorable à l'émergence d'une société d'héritiers et l'extrême difficulté à le changer face à un conservatisme forcené. Il est fort possible que vous y songiez à l'occasion de vos prochaines parties de Monopoly.
En outre, n'hésitez pas à jeter un œil à l'analyse proposée par la chaîne "Alphi" sur le travail des "Parasites".
Enfin, si après cela, le cœur vous en dit, autant examiner le reste de leurs productions, à commencer par la série "L'Effondrement".
Bon visionnage.
Wheatley
8
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le 22 nov. 2020

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