Joker, le film comme le perso, c'est 2h de mine tristounette appelant à la commisération, 2h d'imitations ratées, 2h à fermer les yeux sur la violence d'une société dans son ensemble en la circonscrivant chez des individus très méchants , et inexplicablement, à la fin, les deux deviennent un symbole d'audace, de renouveau et de clairvoyance.
Ouf, la politique des auteurs est toujours valable, il était bien impossible que Todd Phillips fasse un jour un chef d'oeuvre.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les grosses baudruches des années 2010
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le 14 oct. 2019
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