5
Fac Simulée
J'aurais dû aimer Kaboom : un film de campus, et qui plus est un campus rempli de canons qui ne pensent qu'à ça, des dialogues inspirés, une histoire de complot, un second degré permanent, sur le...
Par
le 28 nov. 2010
79 j'aime
33
Vous reprendrez bien une giclée d'Araki(rit) ?
OMGWTFBBQ !!! Y en a un qui va se souvenir de son dix-neuvième anniversaire ! Kaboom ? Le bruit d'une grosse détonation, mais aussi le dernier Gregg Araki, soit un cocktail improbable mais parfaitement explosif à base de campus américain, de couleurs flashy vintage, de sexe débridé, de secret familial, d'enlèvement, de magie noire, de suspense à la Scream sur fond d'Apocalypse annoncée. Sans oublier dix minutes finales de délire à la David Lynch, une réalisation à un rythme d'enfer, sans une seconde de temps mort, à la manière des contradictions et pulsions s'entrechoquant à une vitesse vertigineuse dans une tête d'ado, et des dialogues bien vifs chez des nanas qui connaissent leur point G sur le bout des doigts et à qui on ne la fait pas. Un grand milkshake orgasmique qu'on prend en pleine face en en redemandant. Jouissif !
9
Écrit par
Créée
le 17 avr. 2011
Critique lue 297 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Kaboom
7
Critique de Kaboom par Rakanishu
Pas facile de critiquer Kaboom. C'est un peu un film nul, mais assumé. A savoir que le film part dans le grand grand n'importe quoi, que les 10 dernières minutes sont dignes d'un David Lynch pris de...
Par
le 10 oct. 2010
77 j'aime
6
6
Naissance de Kaboom..
- Bonjour monsieur.. ? - Araki. Gregg Araki. - Ah c'est vous! Entrez donc. Vous pouvez vous asseoir. Prenez la chaise, là. - Merci. Vous êtes? - Appelez-moi Phil. - Vous n'auriez pas quelque chose à...
Par
le 2 avr. 2013
52 j'aime
12
Du même critique
3
Un nouvel ennemi
Mon cher François, je ne te comprends plus. Qu’est-ce que c’est que cette affreuse sortie de route ? Qu’est-ce qui passe dans ta tête déglinguée qui m’avait valu en quinze ans tant de magnifiques...
Par
le 17 nov. 2014
13 j'aime
3
10
Le voyage sans retour
La bande annonce laissait présager un solide film social, dur, sans concessions, d’un absolu pessimisme bien dans l’air d’une époque en rien réjouissante. Au terme de ses deux heures qui en...
Par
le 29 mars 2013
8 j'aime
2
9
Théorème façon Sommersturm
Coup de chapeau à Matthias Lutthardt pour ce Pingpong bourré de non-dits, d'énigmes, de mystères et d'ambiguïtés – avec une mention particulière pour le jeune Sebastian Urzendowsky, qui laisse une...
Par
le 19 nov. 2011
8 j'aime
7
