Ode à l'inspiration.
La Beat Generation est une période, un mouvement littéraire qui m'inspire énormément. Il s'agit de briser les codes, d'écrire avec véracité les errements d'une nouvelle vague désillusionnée - et...
le 2 mars 2015
17 j'aime
5
Ce qu'on notera d'abord, c'est cette affiche grotesque et tapageuse qui prône et inspire une histoire de bas étages et une esthétique bâclée. Niveau communication, on repassera.
Kill your darlings est un film prenant qui ne m'a jamais ennuyé, et ça on peut lui donner. Avec une direction intéressante et des plans ne sont pas révolutionnaires mais ont tout de même une patte personnelle, l'histoire se déroule sans grande difficulté, avec de jolies idées.
Le casting est intéressant, et donne du relief aux personnages qui en manquent peut-être un peu. A part les personnages principales, ont manque un peu de texture, et le développement des secondaires sont magnifiquement bâclés.
Mais le sujet traité est intéressant, et le traitement de l'homosexualité se garde de tomber dans des trop gros clichés. J'ai passé un bon moment, et mon amour pour Daniel Radcliffe est un peu plus immense. Sans grande prétention, Kill your Darlings introduit tout de même l'univers de la poésie Beat Génération avec brio et laisse avec un coeur qui réfléchit. Et ça, pour moi, c'est réussit.
Créée
le 25 juil. 2019
Critique lue 125 fois
D'autres avis sur Kill Your Darlings - Obsession meurtrière
La Beat Generation est une période, un mouvement littéraire qui m'inspire énormément. Il s'agit de briser les codes, d'écrire avec véracité les errements d'une nouvelle vague désillusionnée - et...
le 2 mars 2015
17 j'aime
5
Ce biopic aurait pu être passionnant mais pour moi J.Krokidas passe complètement à côté de son sujet. Le gros problème c'est qu'en moins de deux heures et de manière très démonstrative, il raconte à...
le 12 nov. 2015
10 j'aime
Adaptation de l'ouvrage Et les hippopotames ont bouilli vifs dans leurs piscines écrit à quatre mains par Jack Kerouac et William S. Burroughs en 1945, mais publié en 2008 seulement, Kill Your...
Par
le 3 mars 2015
9 j'aime
2
Du même critique
Quand on a 16 ans, comment faire la différence entre quelqu'un qu'on aime passionnément et quelqu'un qu'on aime plus fort que tout ? Comment ne pas confondre cette affection débordante et l'amour...
Par
le 25 juil. 2019
12 j'aime
1
[ Ça y est, je l'ai revu] Voyez-vous, cette critique est injuste. Injuste parce que je n'ai pas vu ce film depuis ma plus tendre enfance où l'on décida de me mettre à de nombreuses reprises devant...
Par
le 17 juin 2019
11 j'aime
1
Love, Victor, direct descendant de Love, Simon, traite de Victor, 16 ans, en pleine découverte de son orientation sexuelle. Le premier épisode nous mets vite dans le bain ; slow motion et musique...
Par
le 18 juin 2020
8 j'aime