Pilier 1
Le film avait plein d'arguments : Juliette Binoche - Noémie Lvovsky - Yolande Moreau- Edouard Baer - Rapidement Berléand, l'évolution du rôle de la femme, la veille de 68, l'homosexualité , le refus...
Par
le 27 juin 2020
22 j'aime
1
Pas si désagréable que ça à regarder, et peut-être assez pittoresque, La Bonne Épouse enfonce néanmoins des portes ouvertes, avec une naïveté voire une niaiserie qui font sortir du film. Enfin bon, c'est le genre de comédies destinées à la ménagère de moins de 50 ans (ou de plus ?), fleur bleue dans l'âme, romantique, mais pas bien farouche quand il s'agit de faire face à son mari, justement. Une mentalité d'un autre âge, même si j'ai des connaissances (une tante notamment) qui s'en rapprochent. D'ailleurs, il n'y avait quasiment que des célibataires assez âgées dans la salle, et un ou deux jeunes SJW masculins. J'étais le seul beauf, mais j'en ai vu sortir de la salle avant le milieu du film, tant le film n'arrive pas à suspendre notre incrédulité. Et cette scène finale, où le film se transforme en comédie musicale... quel pinacle en effet pour nous dire : C'EST FINI, VOUS POUVEZ ENFIN SORTIR ! Ouf ! Car la durée du film n'est pas raisonnable en regard de ce qu'il contient. Et cette Binoche qui montre ses nouveaux gros seins à qui veut bien les voir (personne), ainsi que sa nouvelle chirurgie esthétique faciale... je savais qu'il fallait parfois souffrir pour tenir des rôles, mais là... pour sûr ma bonne dame, c'est pas demain la veille que ce film aura un César... du moins j'espère pas.
Créée
le 11 mars 2020
Critique lue 874 fois
2 j'aime
D'autres avis sur La Bonne Épouse
Le film avait plein d'arguments : Juliette Binoche - Noémie Lvovsky - Yolande Moreau- Edouard Baer - Rapidement Berléand, l'évolution du rôle de la femme, la veille de 68, l'homosexualité , le refus...
Par
le 27 juin 2020
22 j'aime
1
Nous sommes en Alsace, à l’École ménagère Van Der Beck, au cours de l’année scolaire 1967-1968. Dirigée par M. et Mme Van Der Beck (François Berléand et Juliette Binoche), l’école entretient un...
Par
le 1 mars 2020
21 j'aime
19
Si on oublie les un peu lourdes ficelles scénaristiques qui permettent au réalisateur d’amener ses personnages où il veut, le film est plaisant, car les personnages sont incarnés par d’excellents...
Par
le 13 juil. 2020
15 j'aime
11
Du même critique
Parasite ne mérite certes pas tous les éloges qu'on a pu lui faire : l'accroche du film est confuse et loin d'être évidente, même si on la comprend par la suite, mais elle est mal faite et ne remplit...
le 5 juin 2019
14 j'aime
20
Film complètement foutraque que cet Under the Silver Lake, avec un (anti-)héros antipathique auquel on ne veut pas s'identifier, une quête des plus futiles et qui reflète juste une curiosité morbide...
le 8 août 2018
12 j'aime
3
Oui. Elle l'a fait. Evidemment. Cette question n'a lieu d'être que dans l'esprit d'un naïf qui se laisse facilement subjuguer par une veuve noire de la pire espèce. L'empoisonnement lent mais sûr des...
le 8 août 2017
8 j'aime