"C'est guignol, c'est guignol..." comme dit la chanson, avec force trognes antipathiques et le village qui se retourne comme un gant contre le méchant désigné et se re-retourne parce que finalement le méchant, très digne, un roc dans la tourmente, n'y est pour rien. Le film déroule son programme, sans surprise, sans discernement, tout dans la caricature et l'abêtissement du spectateur. A sauver ? La lumière dans un petit vallon boisé danois... Pas vu grand chose de plus mauvais en 2012.
MichaelAnthoine
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le 6 déc. 2012

Modifiée

le 6 juin 2013

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