Quelle maestria ! Avec Fritz Lang, rien ne traîne, on est tout de suite dans le ton et tout de suite dans le vif du sujet. Ça commence par un jeu subtil de séduction, Robinson sait qu'il a affaire à une prostituée mais joue le jeu. Joan Bennet sait qu'il est déjà tombé dans ses filets et l'aguiche avec une tenue dont le haut est quasi transparent (scène magique !). Puis ce sulfureux tête à... Lire la critique de La Femme au portrait