Cover La Femme au portrait

La Femme au portrait

The Woman in the Window

1944

1K

967

83

7.4

Film de Fritz Lang · 1 h 47 min · 28 juillet 1947 (France)

Genre : Film noir

Casting (acteurs principaux) :

Edward G. Robinson, Joan Bennett, Raymond Massey, Edmund Breon, Dan Duryea, Thomas E. Jackson, Dorothy Peterson, Arthur Loft

Pays d'origine :

États-Unis
Casting complet et fiche technique

Un soir, en sortant de son club, le professeur Wanley rencontre la jeune fille, Alice, dont le portrait dans la vitrine voisine le fascinait depuis longtemps. Invité par elle, ce dernier se trouve en présence d'un inconnu qui s'en prend à Alice puis à lui. Wanley, en état de légitime défense, est obligé de le poignarder.

LongJaneSilver

La fin explique la manière dont certains aspects de l'intrigue sont dégraissés et certains détails amplifiés... mais elle gâche quelque peu l'ambiguïté morale du film en le clôturant sur une touche

il y a 8 ans

2 j'aime

4

Docteur_Jivago
9

Critique positive la plus appréciée

All black

Alors qu'il se rend dans l'un de ses clubs, Richard, un professeur renommé, tombe sur un tableau représentant une femme dont il va très vite tomber sous le charme et être fasciné... jusqu'à ce qu'il...

il y a 8 ans

33 j'aime

5

SanFelice
7

Alice dans les vitrines

L'avantage, avec les films noirs de Fritz Lang, c'est qu'il ne perd pas de temps en palabres inutiles. En trois scènes, cinq minutes générique compris, il a planté l'ambiance, présenté le personnage...

il y a 9 ans

28 j'aime

16

Electron
8

Cycle Fritz Lang

« La femme au portrait » appartient à la légende du film noir. Réalisé par Fritz Lang en 1944, on peut le rapprocher de « La rue rouge » tourné un an plus tard, toujours par Fritz Lang et avec le...

il y a 10 ans

27 j'aime

21

Artobal
9

Et Robinson crut oser…

Rebondissant (plus d’un an après) sur la critique de Limguela, c’est l’idée que les grands films ne sont pas faits de nécessités programmées mais de coïncidences qui m’amène à défendre la fin de "La...

il y a 8 ans

12 j'aime

5

goldie
8

Critique de par goldie

Pataud, un peu ours, le cigare aux lèvres, Richard Wanley s'avance d'un pas goguenard en direction de son habituel club/fumoir. La mine familière d'Edward G. Robinson, qui s'était déjà prêtée à la...

il y a 12 ans

11 j'aime