(En fait nous ne l'avons pas inventé -la baignoire encore moins-)
Ce que je trouve de plus intéressant dans Zorro, c'est le contexte géopolitique de la Californie espagnole, qui nous est moins familière que l'Espagne de Don Quichotte ou le Mexique de Zapata ; ce qui permet de raconter à chaque fois une petite (doublement ici, puisqu'on on nous présente le rejeton de Zorro) histoire dans la grande.
Comme dans l'opus précédent le son (dont les accents hispanisants doivent plus à Hollywood qu'à Albeniz ou au flamenco) et l'image sont d'un kitch parfaitement maîtrisé. Les chorégraphies de combats à l'épée sont toujours aussi réussies.