Isabelle Huppert est tout simplement magistrale, dans tous les registres, sur toute la gamme des émotions.
Je ne connais pas le livre d'Elfriede Jelinek, mais Michael Haneke excelle à mettre en images ce personnage de femme à la fois stricte et déviante, étouffée par sa mère. Comme dans chacun de ses films, il crée le malaise, une atmosphère lourde, que ce soit dans l'appartement où vivent la pianiste et sa mère, dans le cadre fermé du Conservatoire et des concerts.
Et pour ce qui est est des relations sado-masos prof de musique-élèves, c'est autre chose que les amabilités de Whiplash !... :-)

Mamzelle_Jeanne
6

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le 2 mars 2017

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Mamzelle_Jeanne

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