L’intrigue est réduite a rien, le personnage principal manque de psychologie, seule la fin tendue comme une lanière de geta sauve le meuble.
La mise en scène de la fin sauve le film. Celui-ci devient tout d’un coup pesant, lent, on se croirait dans un Hitchcock ou dans Yoru no tsuzumi tourné cinq ans plus tard par Tadashi Imai. Mais c’est un peu tard.
L’intrigue est réduite a rien et n’a pas grand intérêt. Le personnage principal manque de nuances et de psychologie. La femme erre dans le film tel un fantôme. Seul son mari possède une once d’humanité, à moins qu’il soit gay et se désintéresse du sort de sa femme, mais là encore on s’en moque.
Les couleurs sont horribles, on se croirait dans un Richard Thorpe. La musique y fait penser aussi. À moins que ce soit l’influence de Cecil B Demille ou de certains westerns de l’époque.
Une Palme d’or plutôt décevante quand on y regarde un demi-siècle plus tard.
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