Critiques de La Porte de l'enfer

Film pas franchement désagréable mais tellement loin des chefs d’œuvre du cinéma classique japonais de la période qu'on a du mal à comprendre aujourd'hui comment il a pu obtenir sa Palme d'Or en...

La porte de l'enfer est la peinture d'un récit comme sorti d'un écrin, parmi les lambeaux d'un Royaume que l'on assiège. Entre deux courants d'air, une femme se porte volontaire pour fuir à la place...

Cocteau, alors président du jury du festival de Cannes, décide de décerner la palme d'or à La Porte de l'enfer. Kinugasa, réalisateur et scénariste du film, est loin d'en être à son premier coup...

Pendant une période d'instabilité, Morito, un samouraï défend une jeune dame de cour qui s'est portée volontaire pour se faire passer pour la princesse. Une fois l'ordre rétabli, l'empereur lui...

La porte de l'enfer se caractérise surtout par son esthétisme raffiné, dans l'éclat de ses couleurs. Néanmoins, cette première Palme d'Or japonaise laisse relativement déçu après un démarrage...

Palme d'Or en 1954 et, surtout, confirmation de la révélation du cinéma japonais après Rashomon quelques années plus tôt, La Porte de l'Enfer apparaît toutefois bien désuet aujourd'hui...

Sur le Japon des Fujiwara, le premier clan japonais à dominer la scène politique du pays. Film réalisé dans un Japon en pleine reconstruction, avec sans aucun doute peu de moyen. Scenario bien amené,...

La Porte de l’Enfer est un film de Teinosuke Kinugasa sorti en 1953 et palmé du meilleur film au festival de Cannes en 1954 en signe de son importation réussie à travers les frontières. Les années 50...

La Porte de l'enfer (Jigokumon) est un drame féodal japonais réalisé (avec un certain effet de style) par Teinosuke Kinugasa, coécrit par Masaichi Nagata, d'après la pièce Kesa's Husband, de Kan...

Si la tragédie peut donner l impression d être peu originale, d un point de vue purement esthétique la porte de l enfer fait merveille. Entre ses couleurs chatoyantes, sa nature enveloppante, ses...