J'avais lu quelque part, une dame disant que si l'ont ne ressentait pas de peine, de compassion, ou ne pleurions pas devant se film, alors nous n'aimions que les films cyniques, nous aimions le côté pervers des nazis et que nous n'avions tout simplement pas de coeur.
J'ai chialé sur la fin de la Liste de Schinder comme une madeleine l'équivalent d'une petite tasse de café, mais voilà : on ne peu pas pleuré à tout les films.
Je suppose que je dois avoir un micro-onde à la place du coeur, je me suis ennuyé à un point ou j'ai eût envie de manger pour meubler les -trop- longues scènes.
Un film dans l'ensemble plat, lent, époque mal reconstituée, avec une fugue qui prend deux minutes du film après une longue heure de visionage malgré des passages qui sert un peu le coeur, mais je trouve que l'histoire ne vas pas du tout en profondeur, on a un personnages ou deux qui vont et viennent sans trop savoir quels rôles ils on (en particulier celui joué par l'actrice Adèle.E).
Je trouve surtout décevant de ne pas voir comment cet enfant qui s'enfuit a pu réintégré la ville, rencontré sa nouvelle famille, alors que tout le film semble doucement se reposer sur l'épaule de cet enfant, pour finalement le laisser s'envoler après une fugue avec un camarade qui devient on ne sait quoi, comme ci le film n'avait finalement aucun héros, aucun personnages pour faire passer un sentiment auquel s'accrocher.
Le problème de toujours faire des films sur la première ou la seconde guère mondiale, c'est que l'on fini par tourner autour du pot (surtout si l'on ne racontent pas avec plus de réalisme une histoire vraie comme celle de la rafle, ou la fugue des enfants s'est voulu en réalité très dur... Pourquoi se retenir de tourné une scène pareil? Pourquoi toujours vouloir soutenir l'idée de "modifié des histoires pour apporter quelque chose de dérivé à l'histoire originale" si c'est pour en dénaturé le film et l'histoire ?) Alors qu'il pourrait y avoir des points intéressants, mais tout me semble toujours trop réchauffé. Les films qui peuvent être pas mal ou bien dans cette période reste l'incroyable Liste de Schindler, ou encore le Pianiste, voir Au nom de Tout les Miens qui n'a pas fait de chichi sur certaines scènes qui prennent bien au tripes (mes tripes en tout cas), qui à chacun raconte une histoire sur une personnalité, durant cette période, avec plus de profondeur et d'émotion, ce qui a terriblement manqué à se film sorti de Gad Elmaleh que l'on voit finalement peu, le visage éteint de Mélanie Laurent, sorti des enfants dont on connaît malheureusement le sort.
Une grande déception !