Qu'il est doux de retrouver les personnages phares de La Reine des Neiges, le film d'animation de Disney de 2013. Malgré tout, le scénario semble tiré par les cheveux, même si les symboles sont forts. Je n'ai hélas pas repéré de chanson digne de "Libérée, délivrée", qui m'avait bien fait triper à l'époque avant même la vague de fanatisme à son encontre. Les chansons sont dans l'ensemble moins percutantes ainsi que leurs paroles. Mais le pouvoir de la magie et de l'amour nous émerveille tout autant. A quand un 3 ?
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 20 nov. 2019
Critique lue 139 fois
1 j'aime
4 commentaires
D'autres avis sur La Reine des Neiges II
Un méga-succès au box-office se devant d'être exploité à fond, il aurait été inconcevable que ces chers studios Disney ne nous sortent pas une suite. Pourquoi pas, après tout ? Les deux protagonistes...
Par
le 21 janv. 2020
40 j'aime
13
La Reine des neiges… II. Face à l’affiche, une étrange sensation m’a saisi. J’avais beau ne pas avoir de souvenir de l’affiche du précédent film, je savais malgré tout que cette dernière était...
le 11 déc. 2019
39 j'aime
22
Le masqué, Disney et 2019 : une association qui ne restera sans doute pas dans les annales. Et La Reine des Neiges II, hé bien, ce sera pareil. Pourtant, Disney livre à nouveau une copie parfaite...
le 24 nov. 2019
36 j'aime
12
Du même critique
Parasite ne mérite certes pas tous les éloges qu'on a pu lui faire : l'accroche du film est confuse et loin d'être évidente, même si on la comprend par la suite, mais elle est mal faite et ne remplit...
le 5 juin 2019
14 j'aime
20
Film complètement foutraque que cet Under the Silver Lake, avec un (anti-)héros antipathique auquel on ne veut pas s'identifier, une quête des plus futiles et qui reflète juste une curiosité morbide...
le 8 août 2018
12 j'aime
3
Oui. Elle l'a fait. Evidemment. Cette question n'a lieu d'être que dans l'esprit d'un naïf qui se laisse facilement subjuguer par une veuve noire de la pire espèce. L'empoisonnement lent mais sûr des...
le 8 août 2017
8 j'aime
