Yo zyva, t'as pas une schmer ?
Pour faire honneur à "La Vengeance" de Morsay, cette critique sera bourrée, autant que faire se peut, de fautes d'orthographes, d'erreurs syntaxiques, d'argot ou autres bêtises peu aisées à lire. D'avance, pardon.
Yo zyva cé koi se film de tarba ? Morsay ki s'prend pour le king de la téci. Mé le kem il a rihein conpri à la life koi. Cé un boufon plécom, y nou prand trop pour des payday nou les gars du 93, boloss va !
Marre de mal écrire, place à un poétique délire...
Le Sieur de la Cité a perdu l'huile de son moteur charismatique,
Chauve comme Vin Diesel, il jouera de son caricatural physique.
"C'est pas ma faute que toi t'as été en prison" lâcha-t-il entre deux postillons
Pour dénoncer vaillamment l'injustice et défendre ses opinions.
Pas d'autres choix que de manier l'Opinel s'ils ne veulent pas être privés du ciel.
"- Les filles, vous voulez une glace ?
- Non
- Okay, bisous."
Tant pis pour l'autre cruche, avec ses airs nunuche
Dans sa scène superflue, qui nous trouera le cul.
Ambiance Yamakasi, Morsay saute tel un puceron de mur en mur.
L'ancien policeman aujourd'hui à la tête d'une équipe de pucelles néo-nazies,
Incapable de casser par lui-même du beur de la Téci,
Il délègue avec Führer sa haine à ses sbires,
Qui nuiront à ces "parasites immigrés" avec plaisir.
"Merci pour les journals" nous fera aussi mal que les cadrages biaisés d'une bande de truands mal baisés,
Tandis que les répliques ratés s'enchaînent dans un rythme effréné.
"Eh les filles, je vous ai montré mon nouveau tatouage" lancé par un gros SS fier d'exhiber son Svatiska gravé au crayon de couleur noir sur un flasque dos.
"La vengeance est un plat que je mange tout de suite" ponctuera avec brio
La bévue cinématographique que nous inflige cette bande de sado.
Des selles de haineux.